Le Troisième Dragon
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Une île qui vous surplombe depuis les cieux, où dragons, Hommes, bêtes fantastiques et technologies se côtoient, c'est cette île qui vous attend, cavalier.
 
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 Aleatràm Layos & Orphis

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Ikari
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MessageSujet: Aleatràm Layos & Orphis   Aleatràm Layos & Orphis EmptyLun 22 Oct - 21:42

Cavalier
NOM : Aleatràm
Prénom : Layos
Âge : 28 ans

Pouvoir : /

Arme de prédilection : Bien qu'il ne se batte pas tous les jours non plus, Layos se doit de savoir se battre à main nues, mais quand il le peut il préfère utiliser un certain type d'armes : les lances. Il utilise aussi une arme à feu, il en possède toujours une à la ceinture, caché par son manteau.

Caractère :
Fier, arrogant, et très sûr de lui, voilà des termes qui caractérisent Aleatràm Layos. Il s'agit là d'un homme très social, possédant de nombreux contacts et de nombreuses relations bonnes ou mauvaises, cela il s'en moque.

Layos possède un part de lui réservé, il parle peu de lui, beaucoup des autres. Cela lui permet de ne pas s'exposer, se dévoiler et se mettre en danger. En effet on ne peut pas dire qu'il soit très fréquentable, et par conséquent il est méfiant, énormément méfiant. Il cherchera d'ailleurs très souvent à négocier, paraîtra hautain, parfois imbu de lui-même, et arrogant. Il s'agit là d'une tactique en quelques sortes : cacher certaines de ses émotions en montrant une face détestable et haïssable de lui à l'ennemi.
Très respectueux, ce garçon n'est pas impoli ou insultant, même dans les situations les plus délicates il sait se montrer relativement poli ce qui peut parfois être un peu agaçant, pris pour un trop plein de confiance mais c'est pourtant ce qu'il faut dans son « activité professionnel ».
Plus ou moins digne de confiance, Layos est une personne qui pense d'abord à ses intérêts et à ceux des siens, il cherchera d'abord à obtenir ce qu'il veut, de ce fait il peut alors être digne de confiance. Ou pas puisqu'il peut aussi être un véritable traître envers une personne qui n'est pas loyal envers lui. Il est intransigeant, a beaucoup de mal avec des comportements qu'il n'apprécie pas et est très légèrement intolérant envers ses comportements, et par-dessus le marché, il ne supporte pas qu'on le trompe puisque, quand il passe un marché lui respecte sa part. Il attend ainsi que l'on fournisse un travail d'une aussi bonne qualité que le sien.

Dans l'intimité il s'agit d'un homme qui veille beaucoup sur les autres, qui ne supporterait pas leur disparition et qui fait très attention à eux. Tous ceux qui le connaissent sous ce jour s'accordent à dire qu'il est bon et agréable à vivre. Protecteur Layos ne supporte pas, mais alors vraiment a
pas que l'on puisse toucher aux siens. Toutefois même dans son cercle privé il a tendance à garder quelques côtés de son « autre lui » comme le fait qu'il continue d'être réservé et de ne pas aimer parler de lui ou de son passé, mais aussi sa méfiance, le fait qu'il analyse très souvent ce qu'on lui dit sauf quand il remarque qu'il s'agit d'humour, auquel cas il est plus relaxé et détendu. Dans la limite du possible.

Ainsi Layos est une personne qui parle peu de lui, il sait se faire discret et être digne de confiance pour ceux qui demandent sa protection. Mais il lui arrive aussi d'être impitoyable, dangereux. Son air froid et calculateur n'est que le faciès d'un cerveau qui réfléchit beaucoup à ce qu'il fait, bien qu'il puisse être rapidement frustré ou colérique.
Dans les faits il s'agit plutôt d'une image qu'il donne, comme un reflet déformé de ce qu'il est réellement : Layos se montre très bon envers les siens, un peu plus souriant et plutôt railleur. Il accepte aussi beaucoup plus d'être légèrement moqué tant que cela ne frôle pas l'irrespect. Mais il ne peut pas laisser cette réalité est dévoilé et doit garder une main ferme sur les gens qui l'entourent. Comme l'on dit : « Une main de fer dans un gant de velours »

Physique :
Layos est d'une taille légèrement imposante, faisant un mètre quatre-vingt trois il a un visage sérieux, aux traits durs mais fin. Ses yeux d'un bleu clair affiche une lueur qui ne rigole pas. Il est sûr de lui et son regard le montre. Ses cheveux noirs lui tombent sur le front ainsi que sur les yeux et sur le côté des oreilles, ils ne sont pas spécialement courts mais pas pour autant long. Un véritable épis impossible à maîtriser rend ses cheveux en pagaille à l'arrière et sur le haut du crâne.
Son visage n'est pas rond, mais pas pour autant creux et de forme plus ou moins de triangle inversé (la pointe pour le menton), son nez est fin et ses sourcils arqués lui donnent un air colérique. Ses lèvres sont fines et serrées, comme s'il n'était pas prêt à discuter.

Sa musculature est fine mais existante, notamment au niveau des bras et des jambes. Plusieurs cicatrices ornent ses avant-bras, son dos et une autre au niveau de son cou. Ses vêtements sont simples mais lui donnent un certains effets, ils sont plutôt sombre avec un pantalon en toile et une chemise noire. Il porte un long manteau dont le col est orné de fourrure. Layos porte le manteau sur ses épaules, il est tenu par une chaînette en or qui rejoint des épaulettes. Ce look lui donne d'abord un aspect d'homme d'affaire avec quelque chose qui fait tâche.

Il n'est pas rare de le voir fumer, et avec les yeux légèrement cernés. Par ailleurs, il possède trois bagues, des anneaux simplistes et de largeur moyennes, deux sur la main droite sur l'index et l'annulaire et une à la main gauche sur le majeur. Sur l'oreille droite il possède un hélix (piercing qui se fait sur le haut de l'oreille), tout comme ses bagues l'hélix à la forme d'un anneau très proche de la peau. Les bagues et l'hélix sont de couleurs métalliques.

Layos possède des cicatrices très imposantes, sur le flanc (prenant une partie du torse) et une deuxième entre les omoplates, les blessures ayant provoquées ses cicatrices auraient dû l'atteindre physiquement mais il a eut beaucoup de chance (et une très grande aide). Aujourd'hui elles ne lui font plus rien, elles sont justes des vestiges du passé.

(cf Noctis FFVX pour une aperçus du visage)

Histoire :

Layos est le descendant d'une lignée de chronoseigneur très ancienne mais dont sa famille a toujours gardé des traces comme des représentations, des textes. Bien que le dragon qui cohabitait avec les premières générations soit décédé, sa famille a tenu à ce qu'ils gardent toujours une trace de cette histoire.

Le jeune homme est ainsi né à Colinwood, bien avant la guerre noir, dans des quartiers aisés. Sa famille n'était pas spécialement riches mais pas pour autant pauvre. Ils vivaient près de la rivière qui traverse la ville et le jeune garçon se souvient qu'il aimait beaucoup aller au bord de l'eau pour jouer avec ses amis. On ne peut pas dire qu'il a eut une enfance sans amour, sans amis ou sans possibilité de réussite. Bien au contraire il possédait deux parents aimant, fils unique il lui arrivait de s'ennuyer à la maison mais il compensait ça par un petit groupe d'amis très liés. Au total ils étaient quatre (avec Layos). Layos vivait ainsi heureux, et plein de joie. Il allait à l'école et comptait faire des études plus tard dans la ville en littérature et en science économique. Il prenait plaisir dans ce qu'il faisait et ses parents étaient très fiers de lui.
Son père travaillait en tant que banquier et sa mère en tant que comptable, autant vous dire que les finances allaient bon train avec ses deux là. Mais très rapidement, vers l'âge de huit ans, Layos dû se responsabiliser et savoir s'occuper de lui-même. En effet ses parents estimèrent qu'il était assez grands et rapidement ils reprirent une vie d'acharnés au travail et préféraient sortir en couple. Layos ne manqua pas d'amour, ils faisaient des sorties et avaient des vacances en commun avec sa famille, simplement il commença à être seul chez lui un peu plus régulièrement qu'avant. Bien que parfois il avait une nounou, c'était le genre de nounou à laisser faire, à laisser l'enfant expérimenter les choses. Ce fut des années plaisantes, où le garçon s'essaya à la chimie, à la cuisine, et finalement commença tout bonnement à prendre son indépendance. Il ne pouvait pas sortir seul sans surveillance mais il pouvait s'occuper comme il le voulait.

Quand la guerre noire début, Layos approchait de ses onze ans, ce ne fut pas un événement qui le marqua réellement avant ses 15 ans, âge où il prit une certaine conscience de la politique. En effet, ses parents avaient déménagé à Austrerivage, présageant que le vent allait tourner. Ils choisirent cette ville en se disant qu'ils seraient plus à l'abri que sur l'île principal. Cette tactique fonctionna pour eux, et ce fut ainsi que la guerre se passa. Dans la peur certes, mais au moins tous s'en sortirent vivant. Ce ne fut pas le cas pour certains de ses amis dont les familles furent touchés, les Aleatràm refusèrent toutefois de se rendre aux enterrements, ayant trop peur d'exposer leur enfant et eux-même aux cérémonies. Après la guerre, la famille reprit une routine plus ou moins normal, ses parents avaient perdu de l'argent et ne parvenaient plus à en gagner autant que par le passé mais pour trois c'était largement suffisant, ils avaient aussi mis de côté bien avant la guerre pour les études de leur fils et étaient parvenus à ne pas utiliser ses économies.

Ce fut grâce à celles-ci que le garçon put partir à l'âge de 18 ans dans sa ville natale pour étudier à l'université Horizon. Ce fut encore de belles années jusqu'à l'âge de 21 ans.
Durant ses études, Layos rencontra une jeune femme, gentille, serviable mais avec du mordant. Elle était agréable à écouter et à regarder et les deux jeunes gens étaient aussi amis d'enfance. Il fut même un temps où elle était plus grande que lui avant qu'il ne la dépasse finalement. Elle étudiait la littérature et lui avait un cursus particulier entre littérature et sciences économique. Très amoureux, ils décidèrent de se fiancer rapidement, à l'âge de 21 ans. Mais Layos qui était rentré dans la pègre durant ses études et qui gravissait rapidement les échelons dans le clan d'un chef âgé, environ quatre-vingt quatre ans, ne s'attendait pas à être pris cible. Ou plutôt, ne s'attendait pas à subir les représailles de certains envieux.

Le jour des fiançailles, chez les parents de sa bien-aimée, tout allait de bon train. Les convives riaient, s'amusaient et le banquet était d'un délice somptueux. La famille de sa fiancée était bien plus riche que celle de Layos, mais personne ne semblait s'en soucier. Le soleil était radieux, le jardin très bien tondu et les arbres taillés. Seule la bise apportait un air rafraîchissant en cette période estivale. Mais ce jour heureux devint un jour funeste. Un jour où le jeune adulte dutprendre conscience de ses actes, dut prendre conscience du lien entre la vie et la mort mais surtout, un jour où il dut assumer ses choix.
Durant l'après-midi, alors que la fête battait son plein, que les familles et amis félicitaient les nouveaux fiancés qui dans un an allaient se marier. Mais les festivités prirent une tournure dramatique lorsqu'une voiture déboula à vive allure dans le jardin, arrachant le portail. Les convives hurlaient, la panique s'installa comme l'oiseau fait son nid, et dans le capharnaüm, des coups de feu retentirent.
Quand le calme fut revenu, tous ne purent que constater les dégâts, mais surtout les victimes. Certains amis de la ville étaient étendus, demandant de l'aide, la mère du garçon reçut une balle dans le dos, et lui dans la jambe. Mais une chose pire encore allait arriver alors qu'ils appelaient les secours, puisque sur un sol à l'herbe rougeoyante s'étendait sa fiancée. La vie l'avait quittée, plusieurs impacts laissaient sortir de son corps ce liquide si précieux à la vie. La mère de la jeune femme s'effondra alors qu'on embarquait dans des sacs mortuaires les morts, et que les ambulanciers prenaient en charge les blessés. Layos s'était effondré et ne se rappela plus de ce qu'il se déroula pas la suite. Sa mère devint handicapée, mais elle survécut et dut se déplacer en fauteuil roulant. D'autres furent plongés dans le coma pour survivre et d'autres encore s'en sortir avec de moindre blessures. D'autres ne se réveillèrent plus jamais.

Dégoûté, Layos ne put se résoudre à  vivre dans cette ville qui l'avait vu naître mais qui lui avait aussi prit sa fiancée. Il termina ses études par correspondance et s'exila loin de tous à Ormes-Val. Il ne sut pas pourquoi il ressentait le besoin d'aller dans cette ville sombre mais elle était comme la représentation de l'état de son âme : brûlant de rage et de haine, mais aussi sombre que les rues de la ville.
Il errait là-bas, comme une âme en peine, comme l'âme d'un mort tournant en rond. Ainsi le fils des Aleatràm s'exilait dans les monts, ne revenant que rarement dans la ville. Ce fut dans la même année de la fusillade, en hiver, que le jeune homme rencontra sa dragonne.

L'année qui suivit, il fut rappelé auprès de son chef de clan qu'il n'avait pas quitté malgré les événements de la fête ratée. Le vieillard était au plus mal, respirant à l'aide d'une bonbonne, et son corps fatigué des années où il avait combattu. Il lui fit une proposition que personne à la place de Layos n'aurait pu refuser : prendre sa place. Ce fut ainsi que le garçon prit pleinement les activités de la pègre. Il fut propulser à la tête d'un clan très soudé, et leurs activités illégales n'incluaient pas le trafic d'organes humains ou draconique, d'êtres vivants quel qu'il soit, et bien qu'il fallait parfois se battre, aucune rixe gratuite simplement pour un regard ou un mot de travers ne se termina en bain de sang. Il s'agissait là de certaines valeurs qui perpétuaient déjà avec le vieil homme et que Layos voulu continuer de perpétuer. Il trafiquait donc parties de monstres, des marchandises alimentaires, textiles, des minerais rares aussi. Sa notoriété grandit peu à peu et à l'âge de 25 ans il s'était bien installé sur ce nouveau trône. Sa richesse était partagée avec les gens qui lui apportaient les choses à vendre et au sein du groupe, permettant à chacun de vivre comme ils le souhaitaient, tant qu'ils respectaient les règles, auquel cas Layos se montrait impitoyable et sa dragonne savait gérer les autres dragons, d'une façon... ou d'une autre !

Hobbies : Voir de belles choses (il aime beaucoup les musées et les galeries d'arts), voyager, dorloter son clan, faire de nouvelles connaissances, observer les choses, s'occuper de ses lances, se rire de la politique, les choses chaudes, fumer, manger.
Liens Familiaux : Des parents comme beaucoup de gens, ils vivent toujours à Austrerivage donc il ne les voit pas souvent
Liens Amicaux/Amoureux : Beaucoup de connaissances
Lieu de vie : Il possède des maisons dans Ormes Val où il est clairement établi, à proximité de Cylnaes où il se déplace régulièrement, et un immeuble d'une dizaine d'étage à Lor'danel où il se déplace moins régulièrement. En dehors de Lor'danel où l'immeuble est dans le ville, ses deux autres résidences se trouvent plus en périphérie de ville, notamment pour Ormes-Val où il vit plus loin (à 30 minutes en voiture de la ville) pour avoir un endroit moins pollué.

Cavalier Dragon/Cavalier simple : Cavalier simple (il n'utilise pas vraiment Orphis comme d'un moyen de locomotion, il préfère utiliser la voiture)
Métier/fonction/occupation : Chef de gang c'est une occupation ? Sinon il fait du commerce noir de toute sortes de choses (minerais, tissus, bijoux, matériaux de monstres, il ne touche juste pas aux choses vivantes mais les organes de monstres morts lui conviennent, mais pas ceux d'humains ou de dragons ni même d'animaux autres que les monstres), et d'autres activités pas très nettes.
Statut au sein de l'Armée/Titre : Il ne vaut mieux pas n'est-ce pas ?
Points de vie : 135 Pv
Explication des bonus :
• +5 Pv grâce à son mode de vie, en bonne santé, mange et dort bien mais comme il fume...
• +20 Pv pour l'expérience au combat, il ne se bat tous les jours mais il a quand même besoin de maîtriser le corps à corps, quelques armes à feu et il manipule les lances, il a appris tout cela dans les années suivant son intégration à un clan mafieux (vers 19 ans)
• +10 Pv pour son métier qui lui demande d'être au top physiquement (bagarre, course et il fait de la musculation)

Autres : Layos aimerait beaucoup aller sur Terre pour récupérer et vendre des objets venant du monde d'en bas, c'est un marché à explorer après tout, et il pourrait les vendre si cher. Il ne joue jamais aux jeux d'argent, il préfère s'appuyer sur des sources d'argent « sûres ».


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MessageSujet: Orphis   Aleatràm Layos & Orphis EmptyJeu 28 Mar - 19:28

Dragon
Prénom : Orphis
Âge : 374 ans
Espèce : Dragon rapace

Pouvoir : La pétrification. Orphis est apte à pétrifier les individus, cela marche de façon bien définit : la pierre enveloppe le corps de l'individu et cherche à le pénétrer (bouche, plaie), mais est tout d'abord un carcan, une enveloppe. La pétrification débute toujours pas les pieds et va vers la tête. Tous les êtres vivants peuvent être pétrifiés mais cela devient rapidement difficile pour les animaux car dès qu'ils bougent ils peuvent s'extraire ou casser la pierre. Les petits animaux sont faciles à envelopper mais pour les plus grands cela est pratiquement impossible alors Orphis s'en sert surtout pour alourdir et déstabiliser ses proies.
Si Orphis s'entraînait un plus à utiliser sa magie, et aussi lorsqu'elle sera adulte, elle sera apte à pouvoir commencer la pétrification à partir d'un autre membre que les pieds, mais ce n'est pas encore le cas.

Caractère : Orphis est imbue, fière, sarcastique, pratiquement méprisable et détestable. Elle aime se rire des autres, se moquer, elle aime faire des blagues -souvent mauvaises- afin de faire peur, de mettre en colère car Orphis adore voir les gens s'énerver, ou être effrayés. Elle prend un malin plaisir à s'amuser dès autres et il ne faut jamais la remettre en question.

Pour son jeune âge, la dragonne est très fière d'elle, elle se sent forte, puissante bien qu'elle ne le soit pas autant qu'elle ne le prétend. D'un premier coup d'oeil, Orphis fait peur, et cette sensation elle l'adore, elle aime instaurer la crainte, pourtant, elle préfère paraître gentille, agréable et serviable pour mieux manipuler, avoir sous sa coupe aussi. La dragonne rapace cherche en effet à étendre son réseau, et a su apprendre de son cavalier pour savoir comment conserver une bonne relation tout en l'utilisant au maximum. Orphis a des idées bien en tête, elle cherche à se constituer une toile, car elle a un but dans sa vie : celui de grimper sur le trône. Orphis aime en effet le pouvoir, la sensation d'avoir une emprise sur l'autre. Mais encore jeune, elle ne réalise pas tout ce qui pourrait venir avec le fait d'être sur le trône : la responsabilité d'un peuple, la quantité de travail. Loin d'être naïve, Orphis est surtout une adolescente qui cherche le pouvoir sans saisir tous les inconvénients.

La jeune dragonne aime jouer, s'amuser, mais souvent au dépit des autres, surtout avec ses proies. Le malheur des autres ? Un véritable plaisir. Pourtant Orphis n'apprécie guère être la risée des autres, elle est susceptible, s'agace vite. Elle se sent rapidement frustrée et réagit par la colère et l'énervement dès qu'elle se sent humiliée. Toutefois, même si elle aime se moquer des autres, Orphys n'est pas du genre à blesser, tuer, ou faire du mal sans raison, bien entendu cela lui arrive mais pas dans l'optique de s'amuser, bien qu'elle puisse paraître agressive et que son aspect ne favorise pas cette impression Orphys sait tout de même respecter l'intégrité physique des autres.

Cependant il s'agit aussi d'une dragonne protectrice, surtout envers sa sœur Orvis, qu'elle défend, protège et avec qui elle partage une relation très proche. Envers ceux qu'elle connaît, elle se montre « plus agréable » bien qu'elle reste souvent sarcastique, vicieuse et fourbe. Orphys aime faire douter, mais elle préfère surtout étendre son réseau social, sa toile. Elle sait garder ses alliés, se débarrasser des autres. La dragonne à le sens des affaires, au point qu'elle aime même penser que ce n'est pas Layos qui est à la tête d'un clan mais elle !

Ainsi Orphys est une dragonne détestable, assez manipulatrice qui cherche avant tout à parvenir à ses fins. Pourtant elle sait être amicale et protectrice même si pour cela il vaut mieux s'appeler Orvis. Cette dragonne reste encore jeune et malgré son but de monter sur le trône et son intérêt pour la politique elle reste tout de même une adolescente qui aime s'amuser des autres mais qui se vexe très rapidement et prend vite la mouche.

Physique :

Orphis est encore une jeune dragonne mais elle possède déjà une taille conséquente puisqu'elle fait environ 3 mètres au garrot.
Elle possède un court et épais bec noir, plutôt puissant, à l'arrière de son bec se trouve sa tête pleine de plume, ou plutôt supposément pleine de plume car toute la partie frontale jusqu'au haut de la joue est recouvert d'un masque blanc. Ce masque recouvre ses yeux, d'un rouge/orange profond et lui donne aussi l'impression de posséder quatre yeux : en effet son masque possède une légère illusion d'optique puisque les deux parties sphériques orangées à l'arrière de ce masque ne sont pas de véritables yeux. La vision d'Orphis est plutôt bonne, en effet malgré ce que l'on puisse penser la taille de ses yeux par rapport à sa tête est importante lui donnant l'occasion d'avoir une bonne vision, par contre, son odorat n'est pas des plus fins.
Sur son masque blanc se trouve d'étranges marques rouge, plusieurs entourent ses orbites et ses « faux-yeux » tandis qu'une autre se trouve au centre, sur son front et elle aussi est à l'effigie d'un « troisième » œil grand ouvert. Son masque se termine ensuite en pointe allant vers l'arrière de son crâne. La nature de ce masque est plutôt étrange puisque Orphis ne s'en sépare jamais et ne s'est jamais dévoilée sans, on suppose que sous ce masque Orphis aurait la peau brûlé, bien qu'elle affirme qu'elle possède juste des plumes comme sur le reste de son corps.

Orphis possède un cou large, épais mais surtout très plumeux, ses ailes se trouvent plutôt haute sur son corps. L'envergure de ses ailes est plutôt immense puisqu'elles font pratiquement six mètres et plus d'envergure. Plusieurs rangées de plumes noires se succèdent comme une aile normale, ce qui rend ses ailes différentes se sont les petits doigts qu'elle possède, ce sont en fait deux pouces, comme les ailes de chauve-souris, sur son avant-bras. Ils possèdent des griffes mais Orphis n'en a pas l'utilité. Une autre étrangeté de la part de ses ailes sont les lanières de peau entre ses doigts et liant son bras à l'avant bras (cf aile de chauve-souris pour comprendre). Cette peau ne présente pas de plume comme le bas de son corps et saigne quand on la blesse mais elle cicatrise toujours en formant un pont entre deux parties de l'aile d'Orphis.

Comme la plupart des dragons rapaces Orphis possède un corps recouvert de plumes bien que son ventre soit en réalité plus sensible et ne présente que très peu de plume, de même sur ses pattes. Ses plumes possèdent une forme plutôt rectangulaire et certaines se terminent en plusieurs pointes. Orphis possède des cuisses épaisses, fortes et puissante, plus loin sur ses pattes se trouvent quelques petites plumes éparses, enfin, ses pattes terminent par quatre doigts : trois à l'avant et un à l'arrière par conséquent les pattes d'Orphis possèdent une forme dite anisodactylie. Les doigts d'Orphis se terminent par de longues serres acérées et pointues.

Au niveau de sa queue de longues plumes se terminant sous une forme de parallélépipède s'agencent pour former une queue longue, large et se terminant en pointe. Orphis est très fière de l'allure de sa queue qui lui sert de gouvernail et d'équilibre en vol.

En vol, Orphis se comporte beaucoup comme les grands rapaces où les grands oiseaux, sa taille et son envergure sont tels qu'elle ne peut pas battre des ailes de la même manière qu'un colibri : elle utilise en réalité les courants et plane beaucoup plus. Le surplace est très énergivore, alors elle bat des ailes surtout pour prendre l'altitude et ensuite elle se stabilise grâce à sa queue et peu planer durant de très longues minutes, voire heures, sans nécessité de rebattre des ailes.

(Ref : Nevermore RWBY)

Histoire :

Orphis est née avec sa sœur dans le lagon aux échos, elles y coulèrent des jours heureux, dans un paysage luxueux, magnifiques et empreint de magie. Orphis a toujours aimé le lagon, ses eaux, ses grottes. Elle organisait son temps entre la chasse et le jeu dans les eaux. Elle adorait voler à proximité des grottes afin d'entendre les lamentations que le vent pouvait produire en entrant dans les cavernes. Chaque jours Orphis découvrait de nouvelles choses, mais jamais elle ne s'imaginait partir loin de ses parents et de sa sœur. À l'époque la dragonne n'était pas aussi fourbe, aussi méchante et vicieuse que maintenant. Elle avait l'âme d'une enfant, encore innocente, et joueuse, encore vertueuse et agréable à vivre. Orphis noua une relation fusionnelle avec sa sœur, sa jumelle. Elle pouvait pratiquement tout sentir de sa jumelle, nulle besoin de mot, de parole pour la comprendre, elles avaient se lien entre elles, si spécial, si particulier que seul les jumeaux avaient.

Orphis passa donc plusieurs décennies dans le lagon aux échos, apprenant de ses parents, au début elle était maladroite avec la chasse, mais elle affina son apprentissage, s'unissant à la nuit pour mieux surprendre. Le lagon était une bonne zone d'exercice puisqu'il ne fallait faire chanter le vent dans les cavernes, sinon les proies alertées s'enfuyaient. Alors la dragonne s'entraînait à voler sans faire le moindre bruit, à se camoufler dans l'ombre et à surprendre. Plus elle prenait de l'âge, plus elle s'aventurait plus loin, mais Orphis revenait toujours vers ses parents, car pour de nombreux dragons rapaces, les petits restaient auprès des âgés jusqu'à l'âge adulte.

Pourtant Orphis n'eut jamais cette chance. Âgée de 179 ans, Orphis découvrit un monde cruel. Le monde cruel des braconniers. Ce fut les lamentations des cavernes qui éveillèrent la dragonne, ces mêmes lamentations qui l'avaient bercé la prévenait aujourd'hui du danger qui arrivait sur eux. Terrorisée, incapable de faire quoi que ce soit, la dragonne ne put qu'être spectatrice d'un crime odieux, terrifiant et qui lui enleva la protection de ses parents. La dragonne observa une dizaine d'hommes batailler et vaincre son père, puis sa mère, elle avait beau craindre pour sa sœur, elle se sentait incapable de réagir. Orphis se sentait loin, loin de tout, loin de ces images sanglantes et affreuses. Elle ne sentit pas les liens entravant son bec, ni son corps se faire transporter. Elle tenta tout de même d'implorer les dragons qui assuraient le transport des braconniers. Mais aucun ne répondit à ses appels.

Le paradis d'Orphis était aussi devenu son enfer.

La dragonne fut rapidement séparée de sa sœur les jours suivant le raid, mais Orphis ne s'était pas remise de la mort de ses parents, la séparation avec sa sœur finit de l'achever. Quelque chose rampait en elle, comme une ombre, comme les nuages orageux planant sur un village avant d'éclater. La dragonne ne se résigna pourtant pas à son sort. Un nouveau feu, plus sombre, moins enfantin, et plus dangereux se mit à brûler en elle. Au lieu d'accepter son sort, Orphis fit plier son destin. Elle était devenue hargneuse, agressive. Elle agressait tout ce qui pouvait se trouver à la portée de ses barreaux.  Rapidement, personne ne désira d'une bête aussi agressive et dissidente. Ni joie, ni bonheur ne venait envelopper son cœur, mais la colère, la rage et l'amertume venait corrompre la dragonne. Elle passait son temps à tourner dans sa cage, comme un fauve attendant sa pitance, mais Orphis attendait sa liberté. Seulement, au lieu de l'attendre, elle se décida à la trouver elle-même.

S'il y a bien une chose qui manqua à son entraînement se fut la magie, mais durant les jours où les braconniers plantèrent le fer dans ses flancs, Orphis apprenait à maîtriser un pouvoir de vengeance. Un pouvoir qui serait son instrument, son arme. Loin d'être apte à immobiliser les êtres vivants durant le début de son apprentissage, la dragonne parvenait tout de même à changer en pierre des objets sans vie. Elle commença par quelques barreaux, et quand elle se sentit en forme, ou plutôt quand elle sentit que la rage fut à son paroxysme... Alors son crâne se heurta avec violence contre sa propre pierre. La première fois, la pierre céda, mais Orphis réalisa que la roche n'avait fait qu'envelopper le barreau. Alors elle se concentra, voulant plus que jamais sortir de sa geôle. Son crâne heurta une nouvelle fois les barreaux qui cédèrent sous son poids. Cette fois-ci, Orphis refusa d'être trop jeune, d'avoir trop peur. Elle chassa. Comme une bête affamée et blessée, car elle était une dragonne affamée et blessée. Quand enfin la dragonne fut libre, sa colère le fut aussi : elle laissa éclater toute la rage qui avait fait naître un dangereux brasier. Malgré sa taille, encore petite, Orphis fit un carnage dans les locaux. Mais son but n'était pas de tuer, elle était tout simplement en quête de liberté, mais aussi en quête de sa sœur, seulement, tout ceux qui osaient se mettre sur son chemin se retrouvaient violemment bousculé. Personne ne pouvait s'opposer à sa colère, à sa rage.
Orphis n'avait plus rien de la gentille dragonne. Dorénavant elle était aigrie, mensongère et terrifiante. Lorsque, enfin, la dragonne s'échappa de l'endroit où elle avait été retenu prisonnière, les lieux ne lui étaient guère familier. Cependant, au lieu de prendre peur, Orphis déploya ses ailes et se fondit dans la nuit, bien déterminée à retrouver sa sœur.

Durant une vingtaine d'année, la dragonne chercha sa sœur, partout où elle allait, elle demandait aux individus s'ils avaient croisés quelqu'un comme elle. Mais l'île était grande. Bien grande. Pourtant pas un jour ne passait sans que la dragonne ne chercha sa bien-aimée sœur. Orphis était retournée dans les lagons, avait parcouru les déserts, les terres gelées. Mais l'échec n'était pas permis, et puis, deux décennies pour un dragon ne représentait qu'un battement d'aile. Pourtant Orphis ressentait la solitude, l'absence, mais aussi la peur de perdre le dernier membre de sa famille. Puis finalement, la solution lui apparut d'elle-même, un soir où la lune était rouge de sang. Orphis connaissait bien sa sœur, et le sang était la solution. Orvis aimait la justice, du moins elle aimait ce qu'elle pensait être juste. Alors Orphis n'avait qu'à suivre le sang, et notamment celui de ceux qui avaient causé la perte de leur famille. Ainsi, à ses 198 ans, la dragonne eut enfin la piste qu'elle voulait : une rumeur courrait, affirmant qu'un dragon noir comme la nuit s'en prenait aux chasseurs. Mais la rumeur évoquait aussi un masque, or Orvis n'avait jamais porté de masque. Il s'agissait pourtant de la seule piste que la dragonne avait.
Durant les années qui suivirent, Orphis remonta la piste, elle suivait l'odeur du sang, l'odeur de la chair, elle suivait le son des complaintes, le bruit des rumeurs. Et ce ne fut que quatre plus tard, à l'aube de ses 202 ans, que la dragonne retrouva sa sœur. Le camps des bandits avaient été dévasté, des lambeaux de tissus et de chair se trouvaient çà et là, et le dragon sombre se trouvait au milieu du camp, les flammes faisant luire ses plumes et son bec rougit par le sang. Orphis pouvait reconnaître sa sœur à l'odeur, à ses bruits, à ses plumes. Rien ne pouvait lui échapper. Car Orvis était son reflet, et elle était le reflet d'Orvis.

Les années s'écoulèrent ensuite, suivit des décennies, la dragonne avait fait la part des choses, ou tout du moins c'est ce qu'il pouvait sembler : elle ne semblait pas tenir rigueur aux humains ce que les braconniers lui avait fait. Pourtant Orphis continuait de jouer avec les plus faibles, et même les plus forts, elle suivait aussi sa sœur, et si sa sœur décidait de tuer, alors Orphis tuait avec elle. Elle avait changé, comme si son tempérament avait fondu pour laisser place à autre chose après avoir été marqué au fer rouge. Orvis façonna un masque identique à celui qu'elle portait et Orphis ne le quitta plus jamais, ou presque, puisqu'elle le retirait à de rares occasions, seule ou seule avec Orvis. Personne ne sut ce qui pouvait se cacher sous ce masque : cicatrices, brûlures, ou tout simplement l'esprit d'une vengeance froide et calculée.


Puis, rapidement, un but germa dans l'esprit de la dragonne. Un griffon les avait gouverné tous. Et plus tard un humain allait le faire. Alors elle se mit en tête qu'elle aussi elle voulait le trône. Si on lui posait la question de pourquoi, Orphis restait très énigmatique. Mais le trône était le Graal qu'elle visait. La femelle ne voulait pas changer de roi. Elle voulait prendre sa place.

Mais beau jour, Orphis retomba dans une vieille histoire, une nouvelle fois les barreaux l'entourèrent, son bec fut fermé par des lanières en cuir épaisse et ses ailes rabattues sur ses flancs. Elle avait bien tenté de résister mais Orphis ne faisait pas le poids. Une nouvelle fois. Mais l'histoire ne se répéta pas. Un jour alors qu'Orphis utilisait la même astuce pour s'échapper, un homme plus froid que les terres gelées se présenta. Layos venait de se présenter à elle. Et si elle apprit bien une chose ce jour-là, c'était qu'il s'agissait d'un homme torturé et au lourd passé, mais que par-dessous tout il détestait la vente d'être vivant. Il n'était guère ennuyé par la vente d'organe de monstres, à conditions qu'ils soient morts, mais les êtres vivants Layos ne pouvait accepter une telle marchandise. L'homme régnait avec une main de fer sur ses transactions, et d'un coup sec ouvrit la cage d'Orphis. De lui rien n'émanait, ni rage, ni colère, mais ni joie non plus. Il portait un masque de glace. La dragonne se sentit très rapidement attirée par cet être qui avait du pouvoir, et au-delà de cette admiration. Elle le voulait lui comme cavalier. Et ce que Orhis veut, Orphis a. Layos devint son cavalier. L'entente n'était pas simple au départ, Orphis tentait d'instaurer une domination, et Layos la contenait comme il pouvait. Mais la dragonne calma bien rapidement ses ardeurs et consenties à coopérer et à prendre en compte le clan. Layos ne la chevauchait que rarement et la dragonne préférait qu'il utilise sa voiture, et elle, pouvait sentir le pouvoir de diriger l'appeler toujours plus.

Orphis avait réussi à acquérir une forme de pouvoir, et prenait malin plaisir à jouer avec. Mais Orphis dû aussi apprendre à bichonner le clan et les alliées sous peine de les voir se rebeller, elle pouvait se montrer dure comme la pierre, mais elle offrait toujours une protection. Cependant... Orphis pensait toujours à ses propres convictions et à celles d'Orvis, même Layos passait à un plan plus second...

Hobbies : Séduire (mais pas pour de la romance, juste pour s'amuser et se foutre des gens ensuite), affirmer son pouvoir, jouer, chasser, mentir, ne pas aider les autres en dehors de Layos et de sa sœur (et encore c'est limité pour Layos). Effrayer le bétail, effrayer les gens tout court. Faire la course avec les autres au vol en les piégeant avec son pouvoir. Tricher.
Liens Familiaux : Sa jumelle Orvis
Liens Amicaux/Amoureux : Pas vraiment, fricote avec des dragons ayant des avis... Particuliers sur les humains
Lieu de vie:Ormes-Vals, Cylnaes, Lor'danel... Un peu partout, généralement là où se trouve Orvis et Layos
Points de vie : 250 PV
Explication des bonus :
• + 20 pour les bonnes conditions dans lesquelles elle vit
• +30 car elle sait se battre mine de rien mais elle reste tout de même une jeune adolescente
Autres : Orphis aime le pouvoir, se sentir toute puissance et vise par conséquent... le trône. Orphis ne jouera jamais à la loyale et elle trichera toujours pour vaincre.

▬ Ikari ▬

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Aleatràm Layos & Orphis
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