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Une île qui vous surplombe depuis les cieux, où dragons, Hommes, bêtes fantastiques et technologies se côtoient, c'est cette île qui vous attend, cavalier.
Messages : 230 Date d'inscription : 19/12/2016 Age : 24
Feuille de personnage Points de vie: Inventaire: Dé rouge de collection (1)
Sujet: Allark Dim 29 Jan - 23:00
Dragon Prénom : Allark Âge : 2 346 ans Espèce : Dragon Rapace
Pouvoir : Allark a un pouvoir très spécial, en effet, il a le pouvoir de création, de renouveau. Contre beaucoup d'énergie, il a la possibilité de créer, de faire naître des choses, ou de les défaire, il peut créer des paysages, des êtres, tout comme il peut les défaire. Néanmoins, la création lui demande tant d'effort qu'il ne l'utilise jamais. D'une manière plus général : il n'utilise pas son pouvoir. Il peut aussi renouveler les choses, si un objet est cassé, un membre arraché, il a la possibilité de les faire réparer. Cela lui demande nettement moins d'énergie mais cela reste tout de même ardu pour lui. Il préfère de toute manière de pas utiliser ce pouvoir : il y a toujours des contreparties et il en a fait les frais, mais c'est surtout qu'il ne veut plus se prendre pour un dieu.
Caractère : Allark est un dragon qui, de part sa grande taille, ne se préoccupe guère du monde qui l'entoure. On pourrait le penser sage, passif, pourtant il s'est révélé qu'Allark était un dragon agressif, violent, et mortel pour les autres. Il a pour habitude de s'en prendre à quiconque se trouve un peu trop près de lui, soit en se montrant intimidant, soit en les attaquant.
Pourtant il n'est pas qu'une brute sauvage et indomptée, il a connu des cavaliers, il sait établir un contact avec les Hommes, c'est juste qu'il n'aime pas trop être dérangé en réalité. En effet, Allark n'a que très peu de patience, quand il fait quelque chose, il n'apprécie vraiment, mais alors vraiment pas être dérangé, et même s'il arrive à se concentrer au point où il peut oublier tout ce qui l'entoure, entendre un mec piailler à côté de lui ça ne le fait pas. En plus de ça, presque rabat joie il n'aime ni les blagues, ni les jeux, et encore moins qu'on le fasse attendre.
Par contre, c'est un dragon très ponctuel, qui va toujours au bout des choses qu'il entreprend et qui les fait toujours bien. Allark est un dragon plutôt intelligent, qui a souvent pu « prédire » comment les choses allaient se passer (déductions logiques, peser le poids des forces s'opposant etc) mais en attendant il est toujours rester relativement neutre face aux affaires des humains, mais aussi face aux affaires des dragons malgré le fait qu'il aurait sûrement pu apporter une grande aide.
Même s'il se montre parfois désagréable, Allark reste malgré son apparence, un dragon charmant, qui apprécie de temps en temps discuter avec les autres malgré le fait qu'il vive plus reclus, dans les grandes plaines où il se sent bien. C'est une bête qui sait quand être calme, et il arrive à garder un sang-froid implacable même dans les situations les plus extrêmes, ainsi il ne s'emporte jamais dans les combats, en dehors des moments où il est poussé à bout, réellement à bout où il ne gère plus ses stratégies.
Il dort très souvent, et il n'est pas rare de le croiser au détour d'une falaise, endormi. Il est très déconseillé de le réveiller puisqu'il sera de mauvais poil, avec de la chance, s'il a le ventre vide Allark s'en ira chasser s'en prêter attention à l'idiot qui a troublé son sommeil. Dans le cas contraire, il vaudra mieux pour l'idiot d'être puissant ou d'être bon coureur.
Cela fait quelques années (pensez décennies) qu'il n'a pas eu de cavalier et qu'il n'a pas revu d'Hommes, il sait cependant tout ce qu'il s'est passé. Comme à son habitude, il reste neutre, préférant rester dans la nature au calme, à observer passivement. Dans les faits, Allark attend quelque chose, il attend le moment pour agir, et c'est ici et en cela que l'on peut le dire sage, parce qu'il sait que, malgré son impatience flagrante, il doit attendre un moment. Un certain moment.
S'il n'était pas aussi impatient et parfois presque lunatique quand on se tient trop près de lui, il pourrait sûrement faire un excellent mentor et délivrer d'importante mise en garde sur les utilisations de la magie. Pas rancunier pour un sou, il a aussi la sagesse de savoir pardonner, la seule personne qu'il n'a jamais pu pardonner est lui-même.
En effet, son apparence pince sans rire, froide, sérieuse est surtout dû à une histoire qu'il n'a jamais pu oublier (de toute manière il n'oublie jamais rien), il n'a pas toujours été comme ça, il a été très sociable, très avenant et un dragon véritablement apprécié des Hommes et dragons quand il se mêlait de leurs affaires. C'était un dragon qui riait de bon cœur, qui souriait facilement et qui était toujours prêt à aider son prochain. C'est un traumatisme qui l'a fait se couper du monde, qui l'a rendu distant, préférant être loin des autres et ne plus se mêler de leurs affaires.
Au final, Allark est un dragon conscient, conscient du monde, de sa position et de la position des autres, conscient des effets néfastes de la magie et du pouvoir. Sa nature aujourd'hui sérieuse, distante envers les autres ne l'a rendu que plus sage à force de méditation dans sa solitude. Il n'en est pas asocial pour autant puisqu'il peut accepter de parler, néanmoins il n'apprécie par qu'on engage la conversation, en effet il accepte la discussion uniquement quand c'est lui qui l'engage, sinon, il se montre agressif, intimidant et violent quand on l'approche sans son autorisation, quand on vient déranger ses occupations ou son sommeil.
Physique : Allark est un immense dragon à plume, faisant presque neuf mètres de hauteur et tout autant de long, avec une envergure de plus de quinze mètre. Son corps ressemble à celui d'un rapace, mais ces caractéristiques si spéciale l'ont classé dans le rang des dragons : en effet, il possède deux pattes aux serres féroces, entourées d'une épaisse fourrure blanche. Son énorme corps aux plumes bleues nuit est affublé de deux gigantesques ailes, créatrices de bourrasques puissantes. Cependant ce n'est pas la seule paire d'ailes dont cette race de dragon est affublée. En effet, lorsque l'on remonte au niveau de son cou, cou d'ailleurs entouré d'un collier de duvet épais et gris blanc, s'étalant jusqu'au niveau de son torse, jusqu'à sa tête qui semble n'être que son crâne squelettique muni d'un cuir noir, fin et résistant, on remarque qu'il possède deux ailes vers l'arrière du crâne. Une petite crête de poils noirs se dresse aussi entre ses deux plus petites ailes (qui font une fois et demie la taille d'un humain moyen). Il possède une longue queue sans poil ni plume, se terminant par une multitude de plumes. Ses yeux ne sont guère visibles puisqu'ils sont presque entièrement noirs, se mêlant avec son crâne. Il possède des sens si développés qu'il entendra une personne parler à plus de dix mètres de lui, même si c'est un humain et qu'il se trouve par terre. Malgré son âge, il est en réalité pour son espèce plutôt jeune. Porter ou posséder l'une de ses plumes bleus nuit porterait chance, plus la plume est grande, plus la chance sera.
Si vous voulez une parfaite idée de son physique :
Spoiler:
Histoire :
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Allark a connu une vie de dragon bien remplie, et quand on sait qu'il est encore jeune, on comprend qu'il fait parti de ceux qui verrons le plus de changements dans leur vie. En effet, Allark peut dire faire parti de ceux qui ont longtemps vécu sur la Terre, loin d'Argeya et de sa magie. Sa réserve personnelle étant assez puissante pour subvenir à ses besoins, le dragon resta quelques siècles sur le sol terrestre, dans les vallons reculés, dans les montagnes abruptes... Là où personne ne voulait aller, lui pouvait s'y trouver. Grand voyageur, il a parcouru les terres, les cieux, et volé au-dessus des mers tout en accumulant moult et moult connaissance.
La probabilité que certains Hommes terrestres l'aient vu est plutôt grande, mais Allark n'en a jamais eu cure, il s'en est toujours moqué, sachant que personne ne croirait un pauvre fou. Il est cependant retourné sur Argeya, une île qu'il ne connaissait pas puisqu'il était né sur la Terre, un pauvre œuf tombant du nid mais avec l'incroyable chance de posséder une épaisse coquille qui en tombant dans la boue ne se brisa point. L'oeuf, alors emmitouflé dans un cocon de terre, conserva une chaleur acceptable jusqu'à l'éclosion. Le petit bec transperça sa prison blanche et lorsque la tête traversa la coquille, elle se heurta à la terre sèche. Dès son plus jeune âge, Allark du se battre pour sa survie et après une multitude de coups de tête répétés contre la paroi dure, il put enfin se délivrer de son étouffant cercueil.
Il était seul, muni d'un seul petit duvet qui rapidement ne put le maintenir au chaud face aux grands vents raclant la plaine dans laquelle il s'était établit. Il dut apprendre à se nourrir, à boire, à trouver toutes les nuits un coin où vivre. Les jours passaient, toujours plus difficiles, pourtant il en garde un bon souvenir : Allark s'est forgé dans la grande plaine vide, dénuée de tout être, il a appris la vie, sa dureté, alors qu'il sortait à peine de l'oeuf, mais c'est ce qui l'a rendu fort, débrouillard et intelligent. Quand il eut acquis sa capacité de voler, il possédait la taille d'un petit éléphant, il avait commencé à se nourrir des autres animaux : des vaches, des ours... Tout ce qui pouvait lui remplir l'estomac. Pendant un à deux siècles, il ne bougea que très peu de la grande plaine et y évolua rapidement, en l'espace de deux cents ans, il avait atteint une taille qui commençait à l'incommoder pour la chasse ici, et en même temps il lui semblait avoir vider toutes les ressources de connaissances possibles en ce lieu. Il en connaissait chaque coin, chaque recoin, chaque pierre... Il voulait découvrir un monde nouveau, plus large, goûter à l'inconnu.
Alors il prit son envol, le vent contre son cuir, la brise s'enlisant dans son plumage... Allark appréciait toutes les sensations qui l'envahissaient alors qu'il planait dans un ciel sombre, sous une lune éclairant pâlement de pauvres maisonnées. Pendant le demi millénaire qu'il vécut sur la Terre, Allark su toujours se tenir à l'écart des Hommes, son instinct, sa logique de déduction, l'empêchait de s'approcher. Il les observait de loin, ses sens ultra-développés lui permettant d'entendre facilement, de les voir nettement vaquer à leurs occupations... Ses observations lui firent apprendre le langage humain, comment communiquer, mais elles lui firent aussi apprendre la noirceur de l'âme, du cœur, l'impureté dont ils faisaient tous preuves, lui compris. Allark comprit aussi comment exprimer la plupart de ses émotions dont il appris rapidement comment maîtriser pour finalement posséder un sang-froid à toutes épreuves. Quand il commença à se sentir las de la terre des Hommes, lui qui avait rencontré quelques dragons et qui de manière inné connaissait aussi l'endroit, il voulut se rendre sur l'île des dragons. Sa taille adulte atteinte l'empêchait de bien se camoufler, certaines rumeurs par endroit sur un étrange « oiseau » gigantesque, aux plumes aussi sombre que la nuit, et à l'aura de mort.
L'île d'Argeya lui donna l'impression d'être de retour à la maison, une sensation de douce chaleur, de confort alors qu'il en dessinait, qu'il en apprenait les contours. Et après toutes ses années à apprendre, à comprendre, Allark savait déjà se débrouiller même dans un « monde » nouveau. La seule différence était la faune, parfois plus hostile, pourtant il ne perdit jamais un combat, et n'en refusa jamais un. A jamais voyageur, il s'établit tout de même avec une préférence dans le centre de l'île, parmi ces grandes plaines qui lui rappelaient l'endroit de son éclosion. Vers ses 780 ans, Allark connu son tout premier cavalier, un homme sage, qu'il rencontra alors qu'il était très âgé. Une véritable relation de confiance s'établit entre eux deux, le vieillard ne demanda pas que le dragon ne lui serve à asservir qui que ce soit malgré qu'il avait conscience de sa force, et de la puissante magie qui vibrait dans les plumes du dragon. Allark s'établit auprès de son village, il lui arriva même de se rendre à la capitale et il connu rapidement la dragonne Cylnaes. Lorsque le premier cavalier mouru, Allark l'accepta de le prendre sur son dos, de le faire voler. Plutôt affecté par la mort de son premier ami, le dragon s'éloigna un temps des Hommes et des autres dragons.
Du moins jusqu'à ses mille ans, où il rencontra pour la première fois une représentante de son espèce, à défaut de parler de coup de foudre, ce fut plutôt par les forces du destin : ni l'un ni l'autre n'avait rencontré un autre membre de leur espèce (même si par la suite Allark en a rencontré des centaines) alors bien entendu qu'ils tombèrent amoureux, plus par la force des choses que par autre chose. Mais ils s'aimaient quand même. Pendant plus de 500 ans années ils restèrent ensemble, observant le monde, prenant soin l'un de l'autre, prenant plaisir à jouer, à chasser ensemble, leurs cavaliers étaient le moyen de garder un contact positif avec les Hommes. Même si Allark avait connu des hauts et des bas, comme dans chaque vie, il s'estimait heureux de posséder cette vie.
Cette pensée continua jusqu'à ce qu'il se prenne pour un dieu. Sa dragonne, stérile, et lui-même voulait faire perdurer leur espèce, mais ils ne pouvaient pas concevoir. Alors, Allark, conscient de son effroyable pouvoir, en usa pour créer trois à quatre œufs de l'espèce. Il les couva dans l'étau dans lequel ils s'étaient établit, attendant le retour de la dragonne. Le retour qui ne vint jamais. Au bout d'une nuit, effroyablement inquiet, le dragon prit son envol, délaissant les œufs, pour retrouver sa compagne. La recherche se termina rapidement dès qu'il eu sentit son odeur, une odeur lourde, amère, qui lui donnait un air de dégoût. Répulsive, comme odeur. Puis ses craintes se fondèrent, le désarroi s'empara de lui alors qu'il se posait devant le corps gisant, sans vie et glaciale de sa bien aimée. Il frotta son crâne contre elle, la secoua, espérant vainement qu'elle se réveille. Mais rien n'y fut, et il prit conscience de la forte puissance magie qui s'était posée sur les plumes blanchit de la dragonne. Sa puissance magique. A l'aube du jour, il prit conscience de manière dramatique de la force et du revers de son pouvoir : pour une chose créée, l'équivalent est défait. Les œufs avaient l'équivalent de la vie, et même s'ils n'étaient que des embryons, tous les quatre équivalaient à la vie de sa compagne. Cependant, à peine cette pensée, cette fatalité, s'imposa à lui, qu'il eu un déclic : il devait rentrer, et rapidement. Pour protéger les œufs. Même si elle était morte, qu'importe la peine qu'il n'arrivait ni à endurer, ni à contrôler et qui se déversait en longue plainte dans ses hurlements, il devait protéger les œufs. Leurs œufs. A toute vitesse, il traversa les plaines, retrouvant l'étau de pierre où ils s'étaient établit. Mais une nouvelle fois le destin le punit pour s'être fait dieu. Avec horreur, Allark découvrit un nid vide. Ses serres se refermèrent sur les brindilles, à l'endroit même où les œufs auraient du se trouver. Étrangement, il n'y avait pas d'odeur. Le soleil du midi battait son plein que déjà Allark avait repris son envol, déterminé à faire le tour de l'île.
Lentement, au bout de décennies de recherche, l'Allark se contentant de la vie heureuse, l'Allark sage, joyeux mais quelques peu impatient s'était transformé en un être violent, vouant une haine à tout être l'approchant sans autorisation, il s'était transformé en un être froid, en un être sans espoir. A l'aube de ses 2 000 ans, il abandonna ses recherches, soit les œufs avaient éclos, et comme lui à l'époque, ses enfants ne se souvenaient pas de lui, soit ils étaient mort dans l'oeuf. Son cœur laissa lentement place à de la pierre, et ce genre de pensée ne l'atteignit rapidement plus. Depuis la mort de sa dragonne, il avait refusé tout cavalier s'approchant de lui, coupant les ponts avec les Hommes.
Au final, Allark est un dragon enfermé dans une sombre coquille, même après avoir fouillé toute l'île, rencontrant des nids entiers de son espère, il n'a jamais pu retrouver ses enfants et a abandonné les recherches. Il erre, aujourd'hui, dans les grandes plaines, mais au fond de lui il sait qu'il va bientôt devoir agir, et que, comme lorsqu'il était un petit, il sait qu'il va devoir commencer à percer sa carapace.
Hobbies : Dormir, apprendre, méditer, voler Liens Familiaux : / Liens Amicaux/Amoureux : / Lieu de vie: Très nomade, il dort dans les falaises (même les plus petites) et se trouve souvent dans les grandes plaines du centre. Points de vie : 250 Pv Explication des bonus : • Allark gagne un bonus de 50 Pv grâce à ses aptitudes en combat, il a l'habitude de se défendre et depuis son histoire est devenu très violent et bagarreur. Autres : Ses plumes ont un puissant pouvoir magique, ce sont de véritables médiateurs et générateurs magique.
▬ Ikari ▬
Comment avez-vous trouvé Le Troisième Dragon ? Sur un ancien site, par sa créatrice Loupwolf, puis ensuite on a décidé d'en faire un forum de rpg Un avis ? Est-ce que l'avis d'un admin peut être compter comme un avis ? Autre chose ? Nourriture ? Codes : Codes bons et délicieux - par cray'
Allark
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