Le Troisième Dragon
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 Religion et mythologie

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Crayon
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Crayon


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Inventaire Inventaire: Corne de béhémoth en poudre (1) ; Breuvage de santé (4) ; Matrice de restructuration (1) ; Maléfice de Lilith (1) ; Petit sac de gâteaux sucrés (1) ; Sang de succube (1) ; Grenade de fumée (1) ; Acte de naissance falsifié (1) ;Élixir de changelin (1) ; Tonique fortifiant (1) ; Feuille de Gaïa (1) ;Extrait de chitine (1) ;Asphodèle (1)

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MessageSujet: Religion et mythologie   Religion et mythologie EmptyDim 26 Fév - 2:38

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Sur l'île d'Argeya, on peut trouver beaucoup de religions différentes, certaines plus anciennes que d'autres, et certaines plus connues que d'autres. Pour autant, deux d'entre elles sont majoritaires en terme de fidèles, l'hydram et l'animisme. Voici quelques uns de leurs principes.

L'Hydram – Mythologie et religion



Religion


L'Hydram est fondée sur un grand principe : l'équilibre. Dans son panthéon, cette religion possède quatre Instances, chacune ayant été créée par l'une des têtes de Noun, l'hydre à quatre têtes. Il faut bien comprendre que Noun n'est en aucun cas une déesse, mais bel et bien une entité gardienne. Elle est neutre, et son unique but est l'équilibre : ainsi, on ne prie jamais Noun, car pour chaque faveur demandée et exaucée, un malheur sera envoyé.

Les quatre Instances sont :

Les États (ou les éléments), formés par Emeth, Sylphe, Rahab et Tirfe, respectivement gardiens des états de la matière solide, gazeux, liquide et plasma, et par extension, de la terre, de l'air, de l'eau et du feu.

Les Dieux, formés par Rubeus, la déesse bienveillante principale ; Lune, déesse de la nuit, ; Éltar, dieu des saisons ; et enfin Helan, dieux des morts et gardien des âmes.
Ce sont eux et uniquement eux qui possèdent le statut de dieu, et qui sont donc priés. Les autres instances peuvent aussi recevoir des prières, mais généralement de manière moins fréquente.

Les Entités, formées par l'Espace, le Temps, l'Émotion et le Savoir. À noter qu'ils sont représentés uniquement par des symboles car, dans la mythologie, ils ne possèdent pas de forme physique.

Les Fléaux, formés par Arastr Irmin, fléau de la guerre, Barbaras, fléau de la peur ; Grimbone, fléau de la souffrance ; et enfin Wanshang dhole, fléau du chaos (le plus souvent nommé la Bête ou l'Entropie dans les Livres), étant le fléau le plus important car il est décrit en opposition avec Rubeus.

Bien que les fléaux soient malveillants et que nombres soient les combats entre eux et les dieux, les Livres précisent maintes fois qu'ils sont immortels, et qu'il est impossible de les tuer, car cela reviendrait à provoquer un terrible déséquilibre. Il faut comprendre que la religion hydramienne insiste sur le fait que chaque chose a besoin de son contraire.
Dans les Livres, les fléaux sont généralement libres de provoquer leurs malheurs chez les hommes et les bêtes, qui doivent apprendre à vivre avec. Seul Wanshang dhole est restreint, pour le contenir, enfermé dans sa propre peau au fin fond du royaume de Helan. D'ailleurs, c'est sa libération totale et son meurtre par Rubeus qui provoque l'apocalypse dans le Livre. Il est dit, dans ce dernier, que « La Bête a obtenu ce qu'elle désirait. Par sa mort, l'équilibre est rompu, et le monde des Hommes et des Dragons plonge dans le chaos » Livre III.

L'hydram possède trois Livres sacrés : le premier décrit le commencement, la création de la terre, des Instances et de la vie. Le deuxième décrit l'équilibre et le déséquilibre et pose ses principales croyances (ainsi que de nombreuses histoires entre les Instances), et le troisième décrit la fin du monde, l'apocalypse.

Principes de vie


La religion hydramienne n'impose pas de mode de vie particulier à ses croyants, la plupart peuvent d'ailleurs interpréter les paroles des Livres comme ils le souhaitent et vivre ainsi. Cependant, on peut noter que la grande majorité des croyants vivent selon des principes communs – à des degrés différents évidemment.

Prière – Habituellement, on prie le matin, ou lors du lever, vers la direction du soleil levant. On récite généralement des extraits de la genèse ou du Livre II. La prière peut se faire de manière individuelle, mais aussi dans les temples avec un prêtre. Cela dure une trentaine de minute, et à la fin, les fidèles peuvent venir faire un don au temple ou une offrande.
On trouve au moins un temple hydramien dans chaque grande ville, plus ou moins grand selon son nombre de fidèles.

Alimentation – Dans chacun des Livres, on peut trouver un respect particulier pour la nature. Selon le Livre II « Alors que le sang de l'animal se répandait sur le sable, Rubeus proclama « Mes enfants ne vivront ni dans la souffrance, ni de la souffrance. » ; puis la déesse prit les cornes de l'animal et les accrocha sur le piquet de bois ».
Généralement, les hydramiens ne consomment pas de viande venant d'un animal ayant souffert au moment de l'abattage. Cela a donné lieu à des élevages ou des marques alimentaires spécialisées, garantissant une mort sans douleur pour les animaux. Parfois, les hydramiens décident aussi de ne pas consommer de viande, voire même aucun produit animal.
On peut souvent trouver des cornes d'animal factices (ou non) accrochées sur un piquet de bois autour des enclos des animaux de ces élevages, rappelant les paroles de la déesse dans le Livre.

Mort – Le rituel funéraire hydramien est très particulier. Il n'est aucunement question d'enterrement, ce dernier est même un terrible manque de respect au corps du défunt, ni d'immolation – car dans la mythologie, les os ont une importance particulière, ce serait en eux qu'est contenu l'essence de la vie. Selon le rituel décrit dans le Livre II, il faut retirer toute la chair des os (traditionnellement en raclant les os, mais maintenant, avec un acide spécial), et fixer le squelette sur une structure en bois en forme de Y. La famille du défunt vient ensuite offrir des cadeaux (souvent des morceaux d'écorce colorées) et peindre les os avec de l'ocre. Cela peut sembler très étrange, mais dans cette religion, c'est une manière d'honorer le défunt et de l'aider à rejoindre le royaume de Helan.

Les cimetières hydramiens sont toujours assez loin des villes. Ce sont des grandes zones entourées de murs végétaux, dans lesquels chaque famille possède une case (un carré de plusieurs mètres entourés de murets) où ils peuvent mettre leurs défunts.

Sexualité – La religion n'impose ni n'interdit aucune relation particulière pour ses fidèles. Les prêtres peuvent avoir des enfants, et tous les types de relation, hétérosexuelles comme homosexuelles, sont autorisées. Cela pourra venir du fait que les deux déesses principales, Rubeus et Lune partagent, dans la mythologie, une relation amoureuse spirituelle et charnelle. Selon certains les relations entre membres d'une même famille ne serait pas interdites non plus (ce qui, évidemment, n'est pas le cas dans la loi ni dans les mœurs modernes).

Fêtes et superstitions


L'hydram étant l'une des religion les plus connues et la plus pratiquée selon les statistiques, elle a donné lieu à de nombreuses superstitions et autres croyances. En voici quelques unes.

La nuit des lames runiques – Il s'agit d'une nuit durant la troisième semaine de l'été (généralement pendant le week-end) dédiée au remerciement des déesses et des dieux. On peint des lames en violet fluorescent (traditionnellement de vraies lames, mais maintenant des lames en bois pour des raisons de sécurité), et on les fait danser au milieu d'un cercle, ce qui peut être très impressionnant.

Le solstice d'hiver – La nuit la plus longue possède une signification particulière. Selon la mythologie, c'est l'unique fois de l'année où les déesses Rubeus et Lune peuvent se retrouver pour une nuit d'amour. Souvent, la plupart des couples font de même durant cette nuit, car dans la croyance populaire, un enfant conçu durant cette nuit vivra sous la bénédiction des déesses et aura une vie prospère.

La fin de l'automne – La dernière semaine d'automne, il est coutume de poser des offrandes (généralement des plantes colorées) sur les fenêtres des temples et des maisons, pour demander clémence aux fléaux. On dit qu'il ne faut surtout pas se lever la nuit, car les fléaux viennent regarder les fleurs, et croiser le regard d'un fléau est terrible (leurs yeux ne sont jamais représentés).

Les os ont une importance particulière. Lorsqu'un proche se brise un os, il est coutume de prendre soin de lui en lui offrant des mets sucrés ou des pâtisseries à base de miel, ce dernier étant un ingrédient décrit comme « réparateur » pour l'esprit et le corps.

Représentations


Voici les apparences les plus courantes que l'on peut trouver.

Noun – une hydre a quatre têtes, avec un corps d'humaine (parfois ayant une épine dorsale, des ailes ou une queue de reptile). Souvent, entre ses têtes, le soleil est dessiné. À noter que la quatrième tête est la seule a avoir toujours la gueule ouverte.

Emeth – le gardien de la terre est représenté sous la forme d'un golem sans visage. Parfois en train de tenir une faucille ou une montagne entre ses mains.
Sylphe – le gardien du vent est un animal anthropomorphe couvert de plumes, souvent bien différent d'une représentation à l'autre.
Rahab – le gardien de l'eau est un animal anthropomorphe à tête de poisson. Il est souvent dessiné en train de pleurer, et en tenant un récipient.
Tirfe – le gardien du feu est généralement un golem sortant d'un cratère, ou alors un genre de grand feu-follet.

Rubeus – la déesse principale est représentée en humaine, portant des habits de couleur rousse. Elle peut avoir des cornes recourbées vers l'arrière, ou encore des griffes. Elle tient souvent une sorte de balance, avec deux pierres de même forme dans chaque partie.
Lune – la seconde déesse est représentée en dragonne blanche anthropomorphe (ou parfois, une humaine à tête de dragon). Elle a souvent les yeux fermés, et tient parfois du sable ou un calumet de fumée.
Éltar – le dieu des saisons est représenté comme un humain avec une tête a quatre visages, chacun tenant une branche dans la bouche selon la saison (une branche feuillue pour l'été, en bourgeon pour le printemps, avec des feuilles mortes pour l'automne et nue pour l'hiver). Il est parfois habillé de couleurs orangées.
Helan – le dieu des morts est représenté comme un homme encapuchonné, portant une cape blanche. Il a souvent des ailes étendues, ainsi que des cordes.

L'Espace, le Temps, l'Émotion et le Savoir sont rarement représentés, et uniquement par des symboles en spirale car, dans la mythologie, ils ne sont jamais décrit et ne possèdent pas de forme physique.

Les yeux des fléaux ne sont jamais représentés. Dans toutes les représentations officielles, il est impossible de les voir les yeux ouverts, on retrouve souvent les mêmes façons de les cacher. Il est plusieurs fois souligné dans les Livres sacrés qu'un seul regard de la part d'un fléau suffit à rendre n'importe qui complètement dément, ou encore à arracher l'âme de celui qui oserait lever les yeux sur ceux de l'un de ces monstres.

Arastr Irmin – le fléau de la guerre est représenté comme un homme aux pattes de cheval, portant une armure et une lance. Il a aussi un casque de métal sur la tête, sans trous, pour cacher ses yeux.
Barbaras – le fléau de la peur est représenté comme un animal à la peau blanche, courbé vers le sol, les os saillants. Son museau ressemble à un bec long et très fin. Ses paupières sont cousues.
Grimbone – le fléau de la souffrance est représenté comme un animal noir, avec quatre bras, ainsi que des pieux plantés dans les yeux, et parfois, des crocs rappelant des barbelés.
Wanshang dhole – le fléau de la discorde est représenté par un monstre à la peau et aux cornes rouges, aux mains griffues et à la queue fourchue. Il a les yeux couverts par un tissu noir entouré de chaînes de métal. Parfois, il a des chaînes aux bras.

Extraits des Livres sacrés:


Dernière édition par Crayon le Ven 27 Avr - 8:55, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Religion et mythologie   Religion et mythologie EmptyDim 26 Fév - 2:41

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L'Animisme – Mythologie et religion



Religion


L'animisme fait toujours débat chez certains chercheurs, car ils ne savent pas si on peut réellement l'appeler « religion », car l'animisme ne possède pas de dieux à proprement parler. Cela se rapproche plus d'un culte des esprits ou d'une philosophie.

L'animisme est fondé sur des principes inhérents aux esprits : l'adoration de la nature, et en particulier des dragons, ceux-ci possèdent un statut particulier dans cette religion, ils seraient des réceptacles des esprits de la vie. Pour les animiens, tout être et toute chose est habité par une âme – c'est aussi le cas pour les humains. Que ce soit un feu, un arbre, une montagne, tout possède un esprit louable.
Les humains seraient pareils : chaque humain est en réalité l'incarnation d'un esprit. L'animisme se fonde sur la recherche de la plénitude et de l'entente entre le corps charnel et cet esprit qui l'habite. Elle est souvent décrite comme une religion pacifique et ouverte.
On peut parfois trouver des pierres gravées de symboles aux endroits connues pour avoir abrité une grande population d'animiens.

L'animisme considère qu'il existe trois poisons pour l'esprit : l'avidité, la colère et l'ignorance. Selon leur philosophie, c'est en se séparant de ces maux qu'un corps peut réussir à entrer en communion avec son esprit intérieur, et ainsi arriver à une paix intérieure – humain comme dragon. Ceux qui se laissent trop parasiter par ces poisons finissent par perdre tout discernement et devient un « corps-sans-âme », un être perdu. Selon l'animisme, cela n'est jamais définitif et chacun peut trouver la tranquillité d'âme en adoptant un comportement respectueux.
Cette philosophie souffre parfois d'une incompréhension de la part de la population non-fidèle, qui la considèrent comme « naïve » ou comme « étant une philosophie de hippie ». Cependant, il faut noter que l'animisme prône aussi la modestie et le respect des autres.

L'animisme ne possède pas de livre sacré officiel, car il s'agit principalement de traditions orales, et cela se raconte avant tout sous la forme de contes ou de légendes. Comme on peut s'en douter, il y a autant de versions différentes que de conteurs, bien que l'on puisse retrouver des points communs dans les retranscriptions (la majorité étant trouvable sur l'arpanet, compte tenu du faible nombre de livres relatant ses comptes publiés à ce jour).  

Principes de vie


Prière – les fidèles de l'animisme préfèrent le terme « méditation ». Les temples sont construits en cercles, et sont beaucoup moins nombreux que les temples hydramiens. Il n'y a pas de prières collectives, car chacun est libre de venir au moment qu'il le souhaite. Souvent, les temples animiens sont ouverts à toutes heures, et sont gérés par des moines, qui s'occupent de l'entretient et sont présents pour aider les fidèles. Ces derniers peuvent les solliciter pour ce qui se rapproche des confessions. Les temples vivent grâce aux aides de l'État et aux dons.
Les temples animiens ont souvent la particularité d'avoir leur centre à ciel ouvert, permettant aux dragons de se poser. Cela ressemble en quelque sorte à un grand jardin intérieur, ou l'on peut trouver des fontaines d'eau potable.

Alimentation –  Si aucun aliment n'est interdit, les animiens suivent une certaine modération. Tout est autorisé, seul l'abus n'est pas toléré. Mais il n'est pas question de se restreindre pour autant, il faut trouver l'équilibre entre épicurisme et hédonisme. Souvent, les moines mangent ensemble, et leurs tables sont souvent garnies de beaucoup de choses différentes, mais jamais de trop. Les aliments privilégiés sont les fruits frais, jugés purifiant l'esprit et le corps. Les animiens consomment aussi parfois certaines plantes ou graines en infusion.

Mort – L'animisme croit en la réincarnation. Comme chaque être est habité d'un esprit, lors de la mort de l'enveloppe charnelle, tout doit être fait pour inciter l'esprit à la quitter. Généralement, il est coutume de laisser simplement le corps dans un lieu naturel, afin que les animaux et le temps fassent leur œuvre, ainsi la chair retourne à la terre et il est impossible pour l'âme de rester accrochée.
Des zones spécialement protégées sont aménagées pour ce genre de rituel, bien que parfois, la famille ou les proches préfèrent déposer le corps dans un endroit totalement sauvage – ce qui est illégal et n'aide pas vraiment les autorités.

Sexualité – Le religion animisme n'interdit rien, mais encourage les relations – sans pour autant, encore une fois, tomber dans l'excès. La notion de plaisir du corps et de l'esprit est très présente, notamment par l'encouragement de l'amour spirituel et charnel. Ce qui ne signifie pas que les temples animiens soient des maisons closes : au contraire, la philosophie n'encourage pas les relations sans amour.

Fêtes et superstitions


Les offrandes – le dernier jour de chaque mois a une signification particulière. C'est le moment propice pour remercier les esprits de leurs travaux, et pour leur demander leur aide pour le moi à venir.
L'animisme prône les bienfaits de vivre avec des végétaux – la plupart des animiens aiment avoir des plantes chez eux. En fin de chaque mois, il est coutume de changer la terre de ses plantes et de les décorer de quelques plumes.

Fin de l'année – à l'instar des fêtes de fin d'année, l'animisme possède sa propre fête, en relation avec les esprits. On met des bougies sur le bord des fenêtres et on illumine les temples. Souvent, même ceux n'adhérant pas à la philosophie viennent visiter les temples à cette époque, pour profiter des illuminations colorées (et aussi, parfois, des mets sucrés préparés par les moines, vendu peu cher, ce qui permet de faire entrer un peu d'argent dans les caisses).

L'anniversaire – les fêtes d'anniversaire animiennes sont plutôt atypiques. Elles se passent dans les temples. Celui qui fête son anniversaire doit se peindre le visage avec des traits de peinture colorée, et à la fin de la cérémonie, se fait verser de l'eau sur la tête par un proche. Il doit, avec cette eau, retirer les peintures, symbolisant ses mauvaises pensées de l'année passée, et ainsi se laver de ses maux.

Extraits de contes:
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